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PILOU, une histoire qui fini bien
ci dessous Pilou après son accident de train, née le 8 Avril 2000, de mère contoise et père selle français. ( pilou a lutté pour vivre, il avait perdu énormément de poids, certainement ce qui l’a sauvé car il ne se portait plus, et transpirait de douleur… )
Mon tout premier cheval…
Je l’ai vu naître, et je me suis dit : Il est pour moi, mais comme je n’avais pas beaucoup d’argent je l’ai troqué contre une selle Australienne.
Le 06 janvier au matin, je sort mes chevaux au paddock, mais à peine le dos tourné qu’ils avaient tout cassés, et ils étaient tous sur la voie férée. C’est ma voisine qui est venu me chercher en me disant que mon cheval avait été percuté par le train.
Mais là ! je savait pas se que j’allais découvrir en courant vers mon dadou !!
Arrivé sur les lieu, avec l’aide d’un voisin, je décide de ramener Pilou au box et appel le véto d’urgence. Pilou saignait beaucoup, et tenait à peine debout ! il était si amoché !!
Arrivé en urgence, le vétérinaire croyant que le membre gauche était cassé, me suggéra de l’heutanasier. J’ai fondu en l’arme, mais j’ai dis non!! stop !! on ne le touche plus, et on ne va certainement pas l’euthanasier sans l’avi d’un autre véto. Je savais qu’il souffrait beaucoup, mais il voulait vivre, je le sentais en lui. Le jour même j’ai fait venir un autre véto qui lui a pronostiqué un déboitement de l’épaule. Et là c le grand oufff !!! il restait donc une petite chance que mon pilou s’en remette avec le temps. Mais mon marie m’a quand même conseillé de voir un spécialiste sur Lyon. Il ne pouvait venir que dix jours après l’accident et m’ a donc fait une ordonnance pour un traitement très lourd pour que pilou tienne le coup, et là ! un long parcours de survie commençais pour Pilou ou pendant ses dix jours d’attente j’avais peur de le retrouver mort dans son box. Je peu vous dire qu’il en voulait, je lui faisait des piqures trois fois par jours, sans compter le reste du traitement qu’il devait prendre. Il transpirait énormément dû à un apcès sur le devant de l’épaule qui lui donnait de la fièvre. Il a fallut l’ouvrir et on vidait avec une amie, un seau de pu par jour !! (d’ailleurs je remercie vraiment beaucoup marie claire, une amie qui tiens le poney club les écuries des pious, pour son aide, concernant les soins de pilou, et aussi ma maman, qui passait tous les jours pour m’aider à d’ésinfecter sa plaie. Merci à toutes les deux.) Au bout de ses quinzes jours, tout en continuant de le soigner, et de vider son apcès profondément infecté, Pilou se remettait à manger correctement mais restait vraiment faible et avait énormément maigrit. Deux mois c’était écoulé, et sur ordre du véto on lui fit passer des radios qui révélaient que l’épaule était complêtement déboité ainsi que les liguaments déchirés, seul un liguament était encore rattachée à l’épaule, se qui faisait qu’il n’avait plus aucun appuis du côté gauche. Et pour le soulager, Je lui bandait les antérieurs, car il n’avait pas le choix que de se tenir sur un seul membre 24h sur 24. La bande que je changeais tout les jours l’aidait à se maintenir, et le soulageait. Il est resté SIX mois au box et SIX autres mois au repos dans un parc bien plat avec pour compagne notre poulinière avec qui il ne risquait pas de se faire bousculer. Au bout d’un ans j’ai commencé à le remonter sans selle car il était aussi blessé au ventre et à gardé des séquelles au passage de sangle, ainsi qu’au dessus des boulets. pilou reprend vraiment plaisir à se que je le remonte en ballade. Il a perdu beaucoup de poids mais ça lui a été nécessaire à sa survie, maintenant il galope comme les autres mais il faut quand même le remuscler au niveau de l’épaule. Il y a eu des moments de doute ou je savais plus si cétait bien se que je faisais car je le voyais souffrir et j’étais malheureuse de cette situation, mais à chaque fois que j’allais le voir dans son box il me redonnais espoir, je le voyais se battre de tout son corps et je ne pouvais pas lui retirer cette envie de vivre !! je passais presque tout mon temps libre à le soutenir, à le soigner, lui parler, l’encourager !! le brosser. (S’il vous arrive un jour une histoire comme la notre, soyez fort, écouter votre instinc et ne faite pas forcément se que le vétérinaire pourrait vous dire, car ils choisissent parfois sans être méchante, “la facilité ” et je tiens à dire qu’il m’on quand même soutenu dans mes choix et mes démarches pour le sauver, et quant ils ont revu Pilou ils m’ont avoués qu’ils ne croyait pas en sa guérison”, et qu’ils étaient vraiment content qu’il s’en soit sorti !!!.
Pilou à gardé de grosses séquelles, mais il est heureux de vivre, et je veille à son confort et à ses douleurs qui parfois le font transpirer au niveau de l’épaule.
Il toise 1m50 au garot
ci dessous pilou retrouve le pré après 8 mois de box. 
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